LE VIEUX LÉON
Paroles | Georges Brassens | |
Musique | Georges Brassens | |
Interprète | Georges Brassens | |
Année | 1958 |
Pas de refrain (une habitude), mais quatre très longs couplets (vingt-quatre vers) en tétrasyllabes, ce qui entraîne force élisions, rimes enjambées et rimes coupées ("Et le p'tit bleu / Est-c' que ça n' le / Rend pas meilleur / D'être servi / Au sein des vi- / Gnes du Seigneur ?") pour rendre hommage à un vieux musicien des rues, mort "Y'a tout à l'heur' / Quinze ans d' malheur". Une occasion que Brassens ne laisse pas passer de chanter une fois encore (cf. Le petit cheval ; Pauvre Martin) la grandeur de ces anonymes que "Au grand jamais / On ne (...) met / Au Panthéon" (ils doivent se "Contenter du / Champ de navets"), et aussi de célébrer encore et toujours (cf. Chanson pour l'Auvergnat ; Au bois de mon cœur) le culte de l'amitié qui perdure par delà la mort.
LE GRAND LÉON
Paroles | Charlys | |
Musique | Rick | |
Interprète | Fréhel | |
Année | 1933 |